Dopez votre référencement avec ViRank !

Passé second sur la requête et privilégiant un problème de contenu à un problème de liens, j'ai décidé de produire un article sans grand aucun intérêt mais qui présente l'avantage de parler sentimancho, j'espère que vous ne m'en tiendrez pas rigueur. Les phrases s'enchaînent et ne sont pas liées voire n'ont aucun sens, certains faits relatés sont tout de même bien réels, c'est la méthode la plus productive ou la moins chronophage (mot de l'année 2012) que je connaisse.

L'histoire du sentimancho

Sentimancho c'est quoi ? Je n'en ai absolument aucune idée et je suis ainsi bien mal placé pour vous le dire. A la base, j'ai cru naïvement qu'il s'agissait d'un nouveau modèle de smartphone (ou téléphone intelligent), mais mes amis ont su me remettre dans le droit chemin depuis avec un "Antoine, tu fais erreur, oublie cette idée !".

Je n'ai ensuite pas essayé de creuser cette piste car ma priorité était bien plus de terminer de couper ma haie, qui commençait à sérieusement dépasser sur la voie publique, source éventuelle de conflits de voisinage. Je divague ne trouvez-vous pas ? Oui, je vous avais prévenu dans mon premier paragraphe, ou plutôt chapô, c'est bien de parler de termes techniques liées à la rédaction quand on parle de contenu dans le titre de la page, ne pensez-vous pas ?

L'anecdote qui a changé ma vie

Plus tard, au cours du mois de septembre 2012, il y a peu donc, j'ai décidé de lancer ViRank dans le but d'offrir aux visiteurs ce qu'ils attendaient, à savoir un peu de divertissement dans ce monde de requins qu'est le référencement ou SEO. En effet, évoluant professionnellement dans ce dernier depuis bientôt 7 années, je peux vous affirmer que le montage du groupe Sentimancho ne fut pas une mince affaire.

Je me permets de vous raconter une anecdote tant elle est révélatrice des efforts que j'ai dû produire pour monter ma PME : A 12 ans, je jouais à un haut niveau footballistique en tant qu'arrière gauche et songeais déjà à créer ma propre entreprise. C'était face au SCO d'Angers, il y avait un partout, dernier match de la saison, on jouait la montée, et j'ai eu la bonne idée de manquer un dégagement à la toute dernière minute, ce qui a engendré un but et la victoire du SCO. Une expérience bien douloureuse qui m'a fait par la suite préférer les sorties et les filles au ballon rond. Ceci n'a aucun rapport avec le sentimancho, je vous l'accorde, mais je tenais à vous relater cet épisode de ma vie tant il fut douloureux et boulversant pour moi.

Pour respecter l'ordre chronologique de cet article, je me dois d'aborder le mois en cours, celui d'octobre 2012. Eh bien, que puis-je vous dire ? Que nous sommes déjà le 26 et que je ne l'ai pas vu passer ? Hum, pas très intéressant Antoine, je suis sûr que tu peux faire mieux... Bien malheureusement, non.